Kingdom Hearts World
 
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---riku---
Nos trois joyeux lurons se dirigèrent vers l'entrée de la banque, mais se firent stoppé à l'entrée .
"C'est quoi ça" dit l'un des gardes, en pointant du doigt Néime .
Reza réprima un fou rire, et souriant de toute ses dents, dit :
"C'est notre animal de compagnie, nous n'avions pas de laisse pour l'attacher à l'entrée ... Mais ne vous inquitez pas : il n'aboies pas, ne mord pas et est propre, enfin au second sens du terme ..."
Le garde laissa entrevoir un début de sourire, mais redevint tout de suite sérieux
"Vous pouvez entrer, et j'espère que cette chose sait s'essuyer les pieds sur le paillasson"
Les trois déserteurs continuèrent leur chemin vers le comptoir . Arrivés devant, la jeune femme se trouvant derrière la vitre demanda
"Robert Ichinose" dit Reza, tout en sortant son portefeuille de sa poche arrière droite .
Eleonore cru voir double en découvrant le contenu du portefeuille de Reza : Il avait deux cartes d'identité, deux passeports, ...
Le petit élu sortit sa carte d'identité, sur laquelle on pouvait lire le nom Robert Ashbi .
"J'ai bien un compte à votre nom, quels opérations voulez vous effectuez ?"
Reza fit un rapide calcul, et se décida
"Je voudrais retirer 5.000 munnies, s'il vous plaît"
La jeune banquière sembla abasourdie, 5000 munnies, se moquait-il d'elle ? Son fils de 6 ans avait plus dans sa tirelire...
"Et sous quelle forme les voulez-vous ?"
"En pièce de 100, ça sera parfait"
"Veuillez signez ce formulaire, je vous prie"
Après avoir signer le formulaire et empoché l'argent, le petit groupe s'éclipsa . En sortant, Eleonore remarqua que le chien de garde de l'entrée grognait en regardant successivement les traces de boue et Néime .
--->Le marché


Edité le 19-06-2009 à 17:59:09 par ---riku---


Paine
"Ca aurait été pas mal ça aussi, mais le coup des lunettes, il faut que je m’en souvienne, au cas où j’irai tomber sur un type aussi agréable un jour. Tu es génial mon coeur."

Pour ponctuer ses dires, la jeune femme, qui avait déjà ses bras passés autour du coup de son mari, déposa un baiser sur ses lèvres. Mais il était temps de revenir à leurs affaires, aussi finit-elle par le lâcher, et attraper sa main. Il n’en avait guère plus l’air, mais son inquiétude pour Elilia était toujours là, ils n’avaient pas de temps à perdre.

"Maintenant qu’on a de quoi, direction la pharmacie, je sais où elle est, suis-moi."

Et la jeune mariée d’entraîner Kyzzario à sa suite dans les méandres du marché chaud, coloré et bruyant, laissant derrière eux le froid et impersonnel quartier riche de la ville.
Kyzzario
« L’espace d’un instant j’ai hésité si je devais –sans le faire exprès- tacher sa chemise avec mon stylo mais bon… »

Cette brève interlude avait effacer son visage triste, mais son visage pâle restait.
Paine
Crystal avait fait son possible pour garder ce sérieux et cette hauteur qu’elle avait affecté en rentrant dans la banque, et ce ne fut pas facile. Il faut dire que Kyzzario s’y était pris de main de maître pour exercer sa petite vengeance, et la jeune femme ne pouvait regarder le banquier en face, sans quoi son air ennuyé l’aurait sans doute faite craquer. Cryss avait aussi une autre raison de se réjouir, c’est que son mari, même s’il n’était pas resté inactif comme elle le lui avait demandé, n’avait pas cédé à une pulsion et avait fait marcher ses méninges. Cela ne signifiait pas qu’il était bête, loin de là ! Seulement, Kyzzario avait tendance à se laisser emporter très facilement, il était donc plus que rare de voir le jeune homme se comporter de la sorte. Devait-on y voir le trait de l’influence de sa douce femme sur son caractère ? Peut-être…
En tout cas, cette petite mesquinerie marquait la fin de cette fastidieuse visite à la banque, et c’est les 30 000 munnies en poche que la jeune mariée se leva,

"Je suis vraiment navrée pour vos lunettes, fit-elle au banquier sans une seule once de sincérité. Je veillerais à ce que mon mari n’oublie pas les siennes la prochaine fois. Au revoir. Donne-moi ta main mon Kyzz, je ne voudrais pas que tu prennes un poteau et fasse tomber le toit du bâtiment."

C’était bien évidemment une boutade, d’une grande exagération – quoique – et le banquier esquissa un timide sourire, ne sachant s’il devait le prendre à la rigolade, du fait que la jeune femme garde une telle distance entre eux. Enfin, quoi qu’il en soit, il salua le couple qui s’éclipsait, d’un pas lent, que Crystal accéléra, tant l’envie de rire était irrépressible.

Ca y est, ils étaient dehors, devant ce monument sans grâce qu’était la banque de Sadougan aux allures de temple, et la jeune femme put laisser éclater son fou rire, en sautant au cou de Kyzzario.

"Magnifique mon coeur, vraiment magnifique ! C’était très bien joué."
Kyzzario
« Biensur… » Il prit le stylo en souriant à Crystal puis afficha une mine embêter tout en cherchant un objets invisible.

« Hélas je n’ai pas mes lunette, je n’arriverais pas à écrire. »

Il observa alors le banquier et ces lunettes : « à moins que… pourriez vous me prêter vos lunette ? »

« si cela peut vous aider, Monsieur ».

le banquier retira ses lunette et les tendit à un kyzzario qui les mit aussitôt.

« Je vois beaucoup mieux merci… »

le jeune homme lu un petit peu les feuilles puis signa, quand il retendit les lunettes au banquier il trembla et les fit tomber au sol, les cassant sur le coups…

« Oh ! Veuillez pardonnez ma maladresse. Que dois je faire pour pouvoir me pardonner ? Non vraiment mais quel empoté ! »

« Non, non ce n’est rien » fit le banquier légèrement gêner et par l’attitude de son client et par le faite qu’il n’y voyait plus vraiment grand-chose.
Paine
Alors que son mari lui expliquait les raisons de sa précédente venue en ces lieux, sa femme caressait doucement la main qu’elle tenait dans les siennes. Pauvre Kyzz, cette époque était triste pour lui, tout autant que celle où il vivait encore avec sa famille, et où il était tiraillé entre son "mauvais" côté et l’amour qu’il portait à sa soeur souffrante pour qui il n’y avait guère de remède… Non, sa vie n’avait vraiment pas été heureuse. Et avec la vie qu’ils menaient en tant qu’élus, ballotés de combats en combats, avec toujours de nouveaux ennemis, de plus en plus puissants, elle ne serait pas rose non plus… cependant, Crystal gardait cet optimisme qu’elle avait fait sien depuis la fin de la cérémonie. S’ils étaient ensemble, quelles que soient les difficultés, la joie, si ce n’est le bonheur, étaient à portée de main, elle n’en avait aucun doute. Mais il fallait tout de même conserver une certaine prudence, la jeune femme n’était pas d’un optimisme insouciant au point de se concentrer uniquement sur son couple et oublier ce qu’il se passait autour. S’il y avait une chose que Crystal conservait quelle que soit la situation, c’était bien les pieds sur terre.

"On dirait qu’ils ne t’ont pas reconnu, remarque tu as tellement changé physiquement que même moi parfois j’ai du mal… vous êtes bien mon mari au moins monsieur ? plaisanta la jeune femme. Sans rire, je sais combien ça doit être difficile pour toi, mais on a pas tellement le choix, une telle somme, si elle n’est pas mise dans un banque, ne bouge pas, tandis qu’ici, elle fructifie, et les intérêts sur un million de munnies sont énormes…Alors reste calme s’il-te-plaît, on en a bientôt fini, je ne vais pas faire traîner ça en longueur."

En effet, le banquier revient bientôt avec une liasse de documents et l’argent escompté sous le bras. Avec un petit air supérieur, et surtout satisfait, il déposa le tout sur le bureau, et tendit un stylo à Crystal.

"Voilà les nouveaux documents madame, si vous voulez bien vérifier s’ils sont conformes à vos attentes."

Crystal ne se fit pas prier pour lire attentivement les documents la concernant, et qui n’étaient qu’une mince partie du paquet de feuilles ramenée par cet homme. Il n’est pas dit qu’elle se laisserait entuber par ce banquier empressé et antipathique, et elle affecta un air un peu hautain, tout comme lui, mais visiblement ennuyé, voire blasé. Si le banquier connaissait son métier, il devait comprendre sans que la jeune femme n’ait rien à dire qu’il n’était pas question de lui proposer quoi que ce soit d’autre aujourd’hui. Lorsqu’il remonta ses lunettes avec une petite lueur de dépit traversant ses prunelles, Crystal su qu’elle avait bien trouvé la tactique à employer pour avoir la paix. Après avoir pris connaissance des documents, elle n’y trouva rien à redire, et prit enfin le stylo pour y apposer son paraphe.

"Pourrais-tu signer aussi, Kyzz?" demanda-t-elle à son mari, en lui tendant le stylo.

Retrait de 30 000 munnies -> Crédit de la Ligue : 955 000 munnies
Kyzzario
(t'aurais dudemander à Elilia, sa part très bien àla javel )

Si le jeune homme tenait doucement la main de sa femme, il broyait l’autre coter du fauteuil de cuirs en y laissant entrer sa main.

« Je hais encore plus quand ils sont aussi servile devant tant d’argent »

Le jeune homme sembla se crispé encore plus d’antan qu’après hésitation il semblait reconnaître les lieux, une banque si prestigieuse devait avoir les moyen de refaire toute cette pièce, aussi grande soit il.

« J’était venu ici quand je tenais encore la bibliothèque de Macha, leurs compte à tout deux était ici, j’avais tenté de demander un prêt pour la maladie de son frère, il ne m’en fallait que 5000 de plus… Macha m’avait accompagnée mais ils ne nous ont même pas laissé approcher ce lieux »

Il soupira : « J’ai fais en sorte que leur petit bureau ait des dégâts correspondant à la somme qu’il m’avait refusé »

Il eut un léger sourire : « mais sa va sinon »
Paine
La menace à peine voilée n’avait pas échappé à la jeune mariée, qui resserra son bras autour de celui de son mari. Tout le monde savait ce que signifiait colère chez Kyzzario, et elle n’aimerait pas se retrouver à faire le ménage derrière lui, se dit-elle en frissonnant légèrement. Alors c’est d’une voix apaisante qu’elle lui répondit.

"Je n’aime pas plus que toi, confirma Crystal, seulement, tu vas voir que ce n’est plus le cas pour nous, et qu’au contraire, ils vont se montrer très aimables, voire serviles, ce qui n’est guère mieux, tu me diras, mais bon. C’est étrange de voir comment les gens peuvent changer du tout au tout quand n leur montre quelques zéros sur un bout de papier… De toute façon, je m’en occupe, le banquier me connaît et je sais déjà comment agir avec lui. Je te demande de me laisser faire, quoi qu’il dise, d’accord mon coeur ?"

En effet, les deux gardes en tenue d’apparat de rigueur postés devant les colonnades, en voyant arriver le couple, s’effacèrent discrètement devant eux pour les laisser entrer. Il faut dire qu’on oublie difficilement le visage d’une jeune femme tenant dans ses mains un chèque d’un million malgré sa mise un peu débraillée. Et la mémoire du banquier était encore meilleure que celle des portiers, puisqu’il rangea précipitamment les papiers qu’il était en train de compulser, et se libéra de ses obligations pour aller au devant de Crystal et Kyzzario. On ne fait pas attendre des gens possédant autant d’argent.

- "Madame, monsieur, bonjour et bienvenue dans notre établissement ! Puis-je vous aider ?
- Nous voudrions retirer de l’argent, fit-elle, sans même saluer l’obséquieux banquier qui s’il avait pu se traîner par terre à leur pied n’aurait pas hésité.
- Certainement madame, suivez-moi je vous prie."

Avec beaucoup de manières et de grands sourires, il mena le couple à son bureau, et les invita à s’asseoir confortablement dans les fauteuils de cuir. Crystal s’y assit, proprement dégoûtée par ce type, mais n’en laissa rien paraître. Ce serait certainement plus difficile pour Kyzzario de se tenir tranquille, c’est pourquoi elle ne lui lâchait pas la main, espérant que son contact suffirait à le calmer. Ce que la jeune femme entendait faire, c’était prendre le banquier détestable de haut, avec une froide indifférence, et faire presque comme s’il n’existait pas. Polie, mais ferme. Ainsi, elle espérait qu’il n’irait pas plus loin que ce qu’elle lui demandait, et n’allait pas lui proposer des plans d’investissement et autres joyeusetés financières dont elle n’avait cure. Pour le moment du moins, après peut-être faudrait-il y songer sérieusement, pour faire fructifier le pécule de la Ligue. Mais plus tard, plus tard…
La jeune mariée attrapa une plume et inscrivit le numéro de compte sur une feuille de papier, avec les codes correspondant.

- "Je voudrais 30 000 munnies en liquide, et désirerais ajouter une clause dans le contrat. Seules les personnes possédant les codes bancaires ET faisant apparaître une keyblade pourront accéder à ce compte. Serait-ce possible ?
- Mais bien sûr madame ! Et je dois ajouter que cela est très judicieux de votre part, bien que la sécurité de notre banque soit à toute épreuve. Si vous voulez bien m’excuser, je vais prendre les dispositions nécessaires pour cela. Le code, assorti d’une keyblade.
- Faites donc, nous patientons."

Alors que le banquier s’en allait préparer le nouveau contrat et récupérer la somme, le couple se retrouva seul dans la pièce, et Crystal soupira d’exaspération. Et si elle-même ne supportait pas ce type, que devait-il en être de Kyzzario…

"Ca va mon Kyzz ?"demanda-t-elle à son mari en lui étreignant la main.
Kyzzario
Les jeunes mariés arrivèrent près de la banque de Sadougan.

« Je n’aime pas tellement l’atmosphère des banque » commenta kyzzario « À vrai dire l’attitude hautaine des banquier pour la plupart me mettait dans une froide colère »

Le jeune homme au contact de sa femme semblait s’être un peu décrisper.
Paine
La réfléxion d'Elilia réussit à faire un peu sourire Crystal. L'enthousiasme dont elle faisait preuve faisait plaisir à voir, et c'était assez normal.Toutes les filles étaient excitées à l'approche d'un mariage.

"Oh tu sais, je ne veux pas quelque chose de trop... enfin j'ai des goût assez simples, une robe blanche pas trop chère suffira. Mais avant, je dois aller dans une autre boutique. Je n'en ai pas pour longtemps, viens."

Crystal, comme à son haitude, attrappa la main d'Elilia et l'entraîna à sa suite.
 
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